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Nos Engagements:
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-Faire progresser le collectif et l'individualité.
-Valoriser les qualités et compétences de chacun.
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Bien-être au travail : il est temps de prendre en compte les émotions

Pour la première fois, une étude fait état de la situation émotionnelle des salariés français. Retour sur un tabou dans les entreprises.

Le cabinet de conseil SBT Human(s) Matter a mené une étude auprès de 1 034 salariés français issus d’entreprises et d’administrations de toutes tailles et tous secteurs pour étudier et comprendre les émotions des travailleurs français. “La place des émotions, dans notre société, est de plus en plus importante. Par exemple, de récentes décisions collectives ont été prises par des biais émotionnels comme le Brexit ou l’élection de Trump. C’est aussi le cas quand on consomme. Il est donné de plus en plus d’importance à la partie émotionnelle d’une marque”, démontre Alexandre Beaussier, directeur associé de SBT Human(s) Matter. C’est dans l’air du temps depuis quelques années déjà. La tendance est au bien-être au travail, à la conciliation entre vie privée et vie professionnelle et à la qualité de vie au travail. Mais le sujet des émotions au travail n’avait pas été abordé. Au contraire, il est plutôt conseillé de les taire dans les entreprises.

“Si jusqu’à maintenant, elles étaient laissées à la porte des entreprises, une révolution se met en place grâce à cette quête de bien-être des collaborateurs”, déclare Riadh Lebib, consultant chercheur au sein du cabinet et docteur en neurosciences.

Neurosciences. Le mot est lâché. Les sciences cognitives permettent de comprendre les comportements du cerveau. “Depuis les années 90, elles intègrent les émotions”, ajoute-t-il.

Balance et intelligence émotionnelle

Parmi les personnes interrogées, les cinq émotions positives les plus ressenties sont la concentration, la confiance en soi, l’énergie, la motivation et le calme. Les négatives : la fatigue, l’anxiété, le stress, la contrariété, la tension et la colère. Bonne nouvelle, la balance émotionnelle des répondants est positive. Cela signifie que le ratio entre les émotions positives et négatives est justement positif. C’est le cas de 55 % des salariés interrogés. Comment maintenir une balance émotionnelle positive ? En se souciant de ses propres émotions et de celles des autres. “C’est l’intelligence émotionnelle, composée d’intelligence intrapersonnel et interpersonnel”, détaille Riadh Lebib. Par contre, un quart des personnes interrogées vit et travaille avec des émotions handicapantes… Comment le manager devrait alors réagir ? En proposant des espaces de discussion pour en parler, sans aller jusqu’à la cellule psychologique non plus.

“Le manager ne doit pas devenir un psy low-cost. Mais, pouvoir s’exprimer sur ses émotions permet de rationaliser sur les vécus émotionnels”, prévient Riadh Lebib.

De nombreuses études américaines ont démontré qu’un vocabulaire développé aide à enrichir son intelligence émotionnelle. “Mettre des mots sur ce qu’on a vécu induit une bonne connaissance de soi”. Et bien se connaître pourrait être la clé des émotions. “La vraie intelligence émotionnelle c’est d’abord pour soi. Si je suis manager, que ce matin, je me rends compte que je suis chafouin, je sais que je ne dois pas prendre de décision stratégique aujourd’hui”, expose le docteur en neurosciences. Mais pour avoir une balance émotionnelle, le management ne devrait-il pas suivre ? C’est là que le leadership cognitif intervient. “Aujourd’hui, la plupart des managers ne s’intéressent pas aux comportements humains mais uniquement à ce qui permet, soi-disant, de réaliser au mieux une tâche. Un manager doit créer les conditions d’épanouissement de la communauté qu’il anime”, conclut Alexandre Beaussier.

Source: lundi 9 avril 2018, par Julie Falcoz- Journaliste  http://courriercadres.com/management/art-de-decider-discernement/bien-etre-au-travail-il-est-temps-de-prendre-en-compte-les-emotions-09042018

   

Bien-être au travail : seulement 23 % des salariés français se sentent estimés

ADP, entreprise spécialisée dans la gestion des ressources humaines, a mené une vaste étude sur l’évolution du travail dans 13 pays. Les résultats, qui ont été dévoilés à l’occasion d’une conférence de presse, dévoilent un décalage de perception entre les salariés et leurs employeurs notamment sur le recrutement et la gestion des talents.

Mieux comprendre ce qui compte pour les salariés, qu’ils décident de rester à leur poste actuel ou d’en accepter un nouveau. Voilà les objectifs d’ADP, entreprise spécialisée dans la gestion des ressources humaines, qui vient de dévoiler les résultats de sa vaste étude réalisée auprès de salariés et d’employeurs de 13 pays*. On y apprend notamment que les visions des entreprises et de leurs salariés sont assez éloignées.

Un manque d’estime et d’utilité

Par exemple, concernant l’utilité et l’estime au travail, employeurs et salariés ont des perceptions bien opposées. Quand 54 % des salariés français déclarent se sentir utile dans leur job et 23 % confient être estimés, les employeurs considèrent qu’ils sont respectivement 53 % et 68 % à avoir ce sentiment. Une vision tronquée qu’ont l’ensemble des pays européens (voir graphique ci-dessous). Le point commun de tous les pays est la tendance des employeurs à surestimer les sentiments de leurs salariés”, souligne ainsi ADP.

  

 

 

Regarder ailleurs

Autre enseignement révélé par l’étude : les employeurs auraient parfaitement conscience que leurs salariés pourraient rejoindre une autre entreprise s’ils étaient contactés. “Mais ils sous-estiment le nombre de salariés concernés”, nuance ADP. Ainsi, dans l’ensemble des 13 pays sondés pour l’étude, les entreprises estiment que seulement 21 % de leurs effectifs seraient ouverts à l’idée de rejoindre une autre société, alors qu’en réalité ils sont le double (42 %). En France, pays où l’ancienneté mesurée est la plus élevée avec en moyenne 10,2 ans, 15 % des salariés se disent être en recherche active et 33 % en recherche passive.

 

* L’enquête a été réalisée en ligne, auprès de 5 330 salariés et 3 218 employeurs, travaillant dans des entreprises de 50 salariés et plus, dans 13 pays différents : États-Unis, Canada, Mexique, Brésil, Chili, Royaume-Uni, France, Allemagne, Pays-Bas, Australie, Chine, Inde et Singapour.

Source: jeudi 26 octobre 2017, par Camille Boulate  http://courriercadres.com/entreprise/vie-au-travail/bien-etre-au-travail-seulement-23-des-salaries-francais-se-sentent-estimes-26102017

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