Rapport entre la « Physique Quantique » ET le « LINEQUARTZ »
Alain Servais Profeseur en neurophysiologie et psychomoticité
"Des centaines de personnes souffrent en permanence, handicapées par les douleurs chroniques suite à la fibromyalgie et autres spondylarthrite ankylosante, algo-neuro-dystrophie, capsulite, polyarthrite rhumatoïde, stress, pertes d’énergie et du sommeil… ! Sans guérir… ! Elles en perdent même tout espoir de guérison !Eh bien, une bonne nouvelle ! Il est maintenant possible d’y remédier !
Grâce aux Champs Électromagnétiques Lumineux et Musicaux transmis par Quartz qui agissent au niveau cellulaire.
La science en a déterminé les objectifs potentiels : la désorganisation électromagnétique cellulaire suite aux dérèglements constatés au niveau de la membrane cellulaire, « cerveau » de leur composant.
Santé Nature Innovation (SNI Editions, F) est un service d'information gratuit et un de ses derniers articles communique sous le titre :
Débloquer les nœuds d'énergie vitale.
Extrait :
« En médecine occidentale, on ne sait pas pourquoi un « simple » mal de dos, de gorge, de tête ou d’articulations, provoque de la fatigue, une baisse de moral, un affaiblissement général.
→ Pourquoi cet état global de mal-être, alors qu’une seule partie du corps est touchée ?
→ Pourquoi cette faiblesse qui gagne les parties de votre corps qui ne sont pas douloureuses ?
Nous en faisons tous, pourtant, l’expérience, quand des problèmes de digestion se répercutent sur notre moral, quand un mal de dos nous donne des faiblesses aux genoux.
Et pourtant, il suffit de se tourner vers les anciennes traditions médicinales qui se trouvent sous nos yeux, pour trouver l’explication cohérente. Médecine antique (« Hippocratique »), médecine arabe (médiévale), médecine indienne (Ayurveda), médecine chinoise, médecines chamaniques, toutes intègrent la notion fondamentale d’énergie vitale qui circule dans notre corps.
Pour toutes ces médecines, c’est évident : les douleurs, blessures, maladies créent des nœuds énergétiques.
Ces nœuds bloquent la circulation de l’énergie vitale. C’est ainsi qu’une douleur à un point A peut provoquer une fatigue, un blocage ou même une maladie, à un point B. Toutes ces médecines mettent donc la priorité sur les procédures qui rétablissent les flux d’énergie avec des résultats étonnants.
Depuis dix ans, les études scientifiques dans ce domaine se sont multipliées et en ont confirmé l’efficacité.»
· Le Professeur Dr Bruce Lipton de l’Université de Virginie, USA,
· La Docteur en Sciences biologiques Nathalie Zammatéo de l’Université de Namur,
· Le Professeur de neurologie, neuroscience et psychologie Antonio Damasio de l’Université de Lisbonne, actuellement responsable du service de recherche de l’Université de Los Angeles.
Ces trois sommités parmi plusieurs autres contribuent à démontrer que la matière de notre corps humain est avant tout dépendante de l’« Énergie » sur laquelle elle est constituée, notre corps étant constitué de 99 % de molécules d’eau, le reste surtout des protéines.
Les cours de biologie disent :
nous sommes formés de cellules qui contiennent un certain nombre d’informations et capacités très importantes liées à leur survie, leur protection, leur reproduction, leur comportement en général. Les cellules du corps seraient intelligentes…
Une cellule est-elle intelligente… ?
D’après les dernières recherches recensées, il apparait que « chaque cellule est un être intelligent capable de survivre par lui-même » réf. Lipton 2006
Comme le démontrent la plupart des scientifiques, les cellules vivantes recherchent toujours activement des milieux qui favorisent leur survie.
La cellule serait capable d’analyser, de repérer des milliers de stimuli de son milieu microscopique et d’apprendre de son milieu (externe et interne) pour créer une mémoire cellulaire qu’elle transmet à d’autres. Dans la formation d’anticorps (contre par exemple la rougeole), les cellules immunitaires immatures donnent à l’anticorps la forme la plus parfaite du virus de la rougeole et peuvent ainsi le désactiver.
Depuis les origines de la vie, les cellules sont devenues de plus en plus « intelligentes ».
Il y a 600 millions d’années, certains organismes unicellulaires vivaient déjà sur l’ébauche de notre planète. Puis des organismes pluricellulaires ont bientôt fait leur apparition nous menant tout droit pendant des millions d’années à devenir les êtres vivants que nous connaissons aujourd’hui.
Il est indéniable que ce reflet biologique exécutif amène les êtres vivants à acquérir des fonctions spécialisées, déjà à l’état embryonnaire. Les processus de spécialisation des cellules vivantes peuvent former des tissus, des organes notamment ceux de l’être humain.
Chez l’Homme, seul un pourcentage peu important (en reflet avec l’ensemble cellulaire) est chargé de détecter les stimuli externes et d’y réagir, c’est le Système Nerveux (SN), qui est aussi le traducteur des états du corps humain (les émotions par exemple)
Au niveau cellulaire il existe aujourd’hui des preuves que les gènes se transmettent des informations non seulement entre les membres individuels d’une même espèce, mais aussi entre les membres d’espèces différentes, entrainant ainsi une évolution par transfert de gènes (NItz 2004 ; PENNISI 2004 ; Boucher et Al 2003).
On connait aussi, grâce aux travaux du Professeur Luc Montagnier, Prix Nobel, les phénomènes de transduction de l’ADN, grâce à l’information stockée et générée par l’eau. (Voir aussi les travaux du Professeur Marc Henry : « L’eau et la Physique Quantique » vers une révolution de la médecine, Ed. Dangles 2016)
On sait déjà (d’après Hertage 2004, Netherwood et al 2004) que lorsque des humains digèrent des aliments génétiquement modifiés, les unités concernées localisées sur les chromosomes (càd les gènes) ainsi modifiées, sont transférées et modifient à leur tour le caractère actif et utile de certaines bactéries intestinales.
Ainsi la plupart des maladies d’aujourd’hui sont imputables à l’interaction complexe de plusieurs facteurs génétiques et environnementaux.
Ces cellules « intelligentes », de quoi sont-elles faites ?
Elles comportent 4 grands types de grandes molécules :
- Les polysaccharides (sucres complexes)
- Les lipides (graisses)
- Les acides … (ADN et ARN)
- Les protéines
Et c’est la protéine qui est la composante la plus importante des organismes vivants, en étroite relation énergétique avec une qualité très particulière : l’intelligence.
Car les protéines sont capables de mouvements puisque les Acides Aminés (AA) sont reliés par des liens flexibles. Leurs contours et leurs formes sont déterminés par deux facteurs
- La forme physique déterminée par l’enfilade des AA
- La charge électromagnétique dans une chaîne AA
La plupart des AA ont une charge électromagnétique (+) ou (-) qui agit tel un aimant sur la vie des éléments protéinés.
Les protéines constituent donc un des moteurs de la vie.
Substances de la cellule vivante (en dehors de son noyau), ces protéines coopèrent pour produire des fonctions physiologiques et des voies avec des fonctions particulières et spécifiques (respiration, contraction musculaire, reproduction etc.…)
Mais ce sont les charges électromagnétiques changeantes (de l’environnement) qui conditionnent et causent le mouvement cellulaire en générant leur comportement.
Nous connaissons à présent un grand nombre de protéines,
mais existerait-il, alors, des « protéines fantômes » ?
Xavier Roucou et son équipe ont pu déterminer, à l’aide de logiciels perfectionnés, qu’il existait des milliers de nouvelles séquences codantes potentielles cachées au cœur du code génétique connu.
Olson (2015) et Steen (2016) ont prouvé que ces protéines avaient une fonction biologique (notamment celles dénommées « myoréguline ») dans l’Acide Ribonucléique (ARN) qui joue un rôle dans la contraction musculaire (Steen insiste aussi sur le fait que ces protéines observées sont surtout produites par le stress…)
On retrouve également cette notion d’intelligence dans les protéines qui d’après Roucou 2016 s’entraident et interagissent.
Les gènes ne sont donc pas les uniques contrôleurs de notre vie
Sachant que le cerveau est l’organe qui coordonne la neurophysiologie et donc le comportement de notre organisme.
Peut-on dire que le noyau de la cellule est vraiment le chef d’orchestre de la cellule ?
Pour le savoir il suffit d’énucléer des cellules et d’attendre la suite… Ce fut réalisé en laboratoire et les chercheurs se sont aperçus que non seulement la blessure de l’énucléation cicatrisait, mais que ces cellules survivaient.
Comment affirmer que les cellules sont intelligentes, si leur noyau qui contient l’ADN ne sert pas de cerveau ?
L’épigénèse, science qui « contrôle » au-dessus de la génétique, nous apprend par sa recherche que le comportement humain est pour 15 % codifié par la génétique, les 85 % restants par l’environnement. L’activité du gêne est contrôlée par des signaux de l’environnement (voir Zammatéo 2010).
Les cellules sont modelées en fonction de l’endroit où elles vivent, c’est l’environnement le responsable (Lipton…2006).
Si ce n’est pas le noyau qui dirige, qui le fait ?
La membrane cellulaire, le cytoplasme… ?
Le vrai secret de notre comportement de vie se trouve dans la compréhension des mécanismes biologiques d’échanges de la membrane cellulaire. Pour en étudier la propriété, les scientifiques ont mis en place des études sur les organismes les plus primitifs de notre planète :
Les procaryotes (bactéries, microbes…), constitués d’une membrane souple de 7 millionièmes de millimètre d’épaisseur.
La bactérie mange, digère, respire, élimine et peut même présenter une activité « neurologique » puisqu’elle peut sentir sa nourriture et se diriger vers celle-ci.
Elle peut également se défendre contre les toxines et les prédateurs ; elles font donc preuve « d’intelligence ».
Quelle est donc la structure qui fournit l’intelligence aux procaryotes ?
La seule structure qui peut jouer le rôle de cerveau cellulaire est sa membrane.
Que se passe-t-il au niveau de la membrane qui puisse jouer ce rôle de cerveau cellulaire ?
La membrane cellulaire est composée chimiquement en grande partie de phospholipides (« imperméables particuliers ») et de protéines intelligentes (composées de molécules chargées + ou -).
Les molécules électromagnétiques sont composées essentiellement d’eau et de tout ce qui se dissout dans l’eau ; les molécules non électromagnétiques comprennent l’huile et les substances qui se dissolvent dans l’huile.
Les molécules phospholipidiques qui comprennent des régions lipidiques électro- et non électromagnétiques arrivent difficilement à trouver une stabilité. La membrane phospholipidique est en fait un isolant électrique qui empêche la cellule d’être envahie par chaque molécule de son environnement.
Mais la cellule ne pourrait survivre! si elle était uniquement isolante et incapable d’accepter l’entrée de certaines molécules. La plupart des « aliments nécessaires » qui sont constitués de molécules électromagnétiques ne pourraient ni entrer, ni sortir s’il n’existait un système plus ingénieux.
Ce processus intelligent membranaire se réalise grâce aux Protéines Membranaires Intrinsèques (PMI)
Ces protéines ne permettent pas à n’importe quelle molécule d’entrer dans la cellule, seules les molécules nécessaires au fonctionnement du cytoplasme et du noyau y ont accès. Il existe deux types de PMI :
Les PMI réceptrices qui, comme leur nom l’indique, jouent le rôle d’organes sensoriels de la cellule ; ce sont des « nano antennes moléculaires » syntonisées de façon à réagir à des signaux spécifiques du milieu environnant.
Ces récepteurs peuvent être actifs ou inactifs et passent d’une conformation à l’autre en fonction de la modification de leur charge électrique.
Si une vibration d’énergie de l’environnement entre en résonnance (syntonie) avec le récepteur, elle modifie la charge de la protéine en changeant sa forme (cela donne le mouvement, le comportement organique).
« Les comportements biologiques peuvent être contrôlés autant par des forces invisibles, dont la pensée, que par des molécules physiques ». Lipton 2006.
C’est un fait bien établi qui fournit un fondement scientifique en faveur d’une approche énergétique des différents champs thérapeutiques.
Les protéines réceptrices et effectrices constituent donc un mécanisme « stimulus – réaction » comparable au fonctionnement du système nerveux.
C’est un domaine de recherche appelé « transduction de signal ».
« L’étude de la transmission des signaux relève que la membrane cellulaire est l’élément primordial, tout comme la recherche épigénétique souligne le rôle des protéines du chromosome. » Lipton 2006.
Différents rôles sont attribués aux protéines :
- Protéines de transfert (vers le dedans et vers le dehors)
- Protéines du cytosquelette qui règlent la forme et la mobilité de la cellule
- Enfin une variété appelée enzyme qui rompt ou synthétise des molécules
Les protéines réceptrices et effectrices de la membrane (sensibles à l’environnement) contrôlent la lecture des gènes.
Les gènes ne peuvent programmer, à eux seuls et à l’avance, la vie future d’une cellule ou d’un organisme puisque la survie de celui-ci dépend étroitement de leur environnement et donc de leur capacité à s’adapter aux changements successifs.
Lipton a comparé la simple membrane cellulaire à une puce de silicium utilisée dans les processeurs informatiques.
Lorsqu’il a étudié de très près l’organisation structurelle de la membrane de la cellule, il a d’abord repéré les molécules phospholipidiques et constaté qu’elles étaient disposées dans la membrane en parfait alignement, une structure dont les molécules sont organisées selon une formation régulière et répétitive appelée cristal.
Il existe deux types de cristaux :
- Les minéraux, durs et résistants
- Les cristaux d’un deuxième type qui possèdent une structure plus fluide ; leurs molécules présentent aussi une conformation organisée régulièrement et répétitive, ce sont des cristaux liquides.
Les molécules phospholipidiques de la membrane cellulaire se comportent de la même façon qu’un processeur informatique. Leur organisation cristalline fluide permet à la membrane de changer dynamiquement de forme tout en conservant son intégrité (comme les cristaux liquides), propriété nécessaire à la souplesse de la barrière membranaire.
La membrane cellulaire est un cristal liquide et aussi un semi-conducteur.
Des chercheurs (Cornell et al. 2006) ont réussi à faire d’une membrane cellulaire biologique une puce à affichage numérique.
Cela veut donc dire que, autant les ordinateurs que les cellules, sont programmables et que le programmeur se situe à l’extérieur de « l’ordinateur cellule » (environnement pour la cellule).
L’information entre dans la cellule-ordinateur par les récepteurs de la membrane qui agissent comme « clavier de la cellule ». Ce clavier déclenche les protéines effectrices de la membrane qui deviennent comme processeurs de la cellule-ordinateur. La protéine-processeur effectrice convertit l’information de l’environnement en langage biologique ou neurophysiologique quand il s’agit des cellules du SN.
Nos pensées automatiques peuvent amener chez nous des réactions physiologiques répétitives dont nous ne repérons pas systématiquement l’origine première.
La physique quantique est bel et bien liée à la biologie.
Mais alors toutes ces prétendues guérisons attribuées à l’acupuncture, à la chiropractie, à l’hypnose, à la massothérapie…, derrière tout cela il y aurait quelque chose de sérieux.
La matière serait-elle une illusion ?
La physique quantique permet de découvrir que les atomes physiques sont faits de tourbillons d’énergie en constante rotation et vibration.
« Chaque atome possède une signature énergétique spécifique ; les regroupements d’atomes (les molécules) émettent collectivement une configuration énergétique qui lui est propre. Il émane donc de toute structure « matérielle » de l’univers, vous et moi y compris, une signature énergétique unique » (Lipton 2006).
Mes émotions transmettent des ondes électromagnétiques (EEG), la vitesse de transmission de ces signaux est de 300 000 km à la seconde ; la vitesse de transmission d’un élément chimique diffusible (par exemple les médicaments) se situe bien en dessous, 1 cm à la seconde…!
Si l’on accepte à présent que la membrane cellulaire peut jouer un rôle intelligent dans le comportement cellulaire donc tissulaire, organique et humain en général, la conception même de la représentation de la réalité en forme de perception extéroceptive (vue, ouïe, toucher…) perception intéroceptive et proprioceptive n’a pas encore aujourd’hui été décrite avec succès pour que nous puissions en comprendre tous les rouages subtils.
Nos limites de compréhension du monde et de nos comportements dépendent des frontières de notre intériorité face à l’environnement.
Récapitulons,
Nous savons que:
- les protéines constituent les matériaux de construction de l’être humain mais il faut des signaux environnementaux pour les mettre en mouvement.
- C’est bien la membrane cellulaire qui reçoit les informations les transmettant ainsi, par les processus que nous avons déjà vus, au cytoplasme, aux protéines cytoplasmiques et au noyau.
- Les PMI sont donc les commandes perceptrices et effectrices de la cellule « intelligente ».
Ce qui détermine le comportement d’une cellule vivante est donc l’action simultanée de milliers de commandes réflexes de perceptions dans la membrane chacune décodant un signal particulier de l’environnement ; détection d’éléments tels que: potassium, Ca, O2, C6H12O6, histamine, œstrogène, lumière (bio photons) et information électromagnétique quantique de l’eau.
Ces éléments proviennent de l’environnement proche ou bien plus lointain, environnement influencé et contrôlé aussi par des décharges hormonales elles-mêmes provoquées par le SN notamment en empruntant l’axe ACTH (lors des émotions par exemple).
Le processeur central de l’information (le cerveau) coordonne donc l’ensemble des dialogues des signaux moléculaires de l’être humain.
Chez l’Homme, le cerveau s’est hyperspécialisé (pour sa survie notamment) pour permettre à l’entièreté de la communauté cellulaire de se syntoniser à des signaux régulateurs spécifiques.
Dans son ouvrage « Moleculs of Emotions » Cardace Peel 1997 a découvert que nos récepteurs d’informations situés sur les membranes des cellules nerveuses (neurones) étaient présents dans la quasi-totalité des cellules du corps (surtout intestins, cage thoracique et cerveau).
« L’esprit » ne serait donc pas focalisé uniquement dans la tête mais dans la totalité des cellules du corps sous forme de signaux moléculaires.
Le travail de Peel a permis de découvrir que les émotions n’émanent pas seulement d’une réaction où l’information provient de l’environnement physique (ce qui n’est pas opposé aux recherches de Damasio 1995), mais que l’activité du mental peut utiliser le cerveau pour générer des molécules d’émotions en …outrepassant le système.
Le « nettoyage » proposé par le LINEQUARTZ pourrait amener à modifier une certaine chimie cellulaire qui peut aider à des modifications de fonctionnement organique et des comportements adaptés.
Revenons à ce que nous croyons vrai, indestructible et inéluctable.
L’homme en période de stress, sabote complètement le comportement de stabilité et de croissance cellulaire de son organisme.
L’Homme est doté de deux systèmes :
- Le premier organise la défense contre les dangers « externes », c’est notamment l’axe HPA ( Hypothalamo-Hypophyso-Surrénalien) qui agit sur la glande pituitaire (on peut la comparer dans son organisation et à sa réaction à la protéine membranaire effectrice).
- Le deuxième est le système immunitaire qui protège des dangers qui « viennent de l’intérieur » (bactéries pathogènes, virus).
Il y a là un rapprochement à établir dans la différence de la distribution des informations de défense cellulaire par voie « électromagnétique » et les infos distribuées par les voies hormonales ou sanguines.
Nous sommes faits à l’image de ce qui nous entoure, l’univers.
Chaque protéine fonctionnelle de notre corps est l’image complémentaire (syntonique) d’un ou de plusieurs signaux de l’environnement ;
pas de signal environnemental, pas de fonctionnement de la protéine.
« Chaque protéine dans notre corps est le complément physique et électromagnétique d’une chose dans son milieu ambiant » Bruce Lipton 2006.
Ces groupes de récepteurs d’identité propres situés à la surface extérieure de la membrane cellulaire agissent comme des antennes qui téléchargent les signaux complémentaires provenant de l’environnement (c à d les signaux qui n’ont pas encore été perçus par les PMI dont nous avons parlé avant dans le texte).
Ces récepteurs (sous ensemble HLA Human Leucocytic Antigenes) reliés au système immunitaire, lisent un signal qui devient identitaire inexistant à l’intérieur de la cellule (différent donc de l’ADN) mais qui lui vient de l’environnement extérieur.
Notre identité (notamment le schéma corporel et l’image de soi) est donc une émission de l’environnement reçue par les antennes
réceptrices de la membrane cellulaire.
*
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Condensé des conclusions scientifiques relevées par Monsieur Alain Servais
Maitre-Assistant - Haute Ecole de la Province de Liège
· Licencié en Éducation sanitaire, Université de liège
· Professeur en neurophysiologie, psychomotricité et thérapie psychocorporelle, Haute École de la Province de Liège
· Psychothérapeute
· Diplômé DUFRA, diplôme universitaire en relation humaine, Université de Tours (F)
· Psychomotricien
· Thérapeute psychomotricien, "Psychomotik Erhaltung", (Université de Frankfurt)
· Thérapeute en psycho cinétique (Paris, Rennes, Nancy).
· Diverses formations en thérapie psychocorporelle
Le 15 janvier 2018
Bibliographie dans le texte.
Et si le LineQuartz nous permettait d'entretenir notre silicium?
Préhambule à la conférence sur le LineQuartz du 10 novembre 2017 à Liège(Belgique) par Alain Servais Profeseur en neurophysiologie et psychomoticité
" Le silicium semble constituer l’élément le plus important du règne minéral ; c’est le deuxième élément le plus important en terme énergétique sur terre après l’oxygène.
Le silicium constitue plus de 20% de l’ensemble des atomes de l’écorce terrestre, il est aussi bien entendu présent chez les plantes, les animaux et les êtres humains.
Il faut savoir cependant que seul le silicium organique, monomérique, est assimilable chez l’être humain, surtout jeune et qu’il est notamment rendu assimilable grâce à certaines bactéries intestinales qui perdent de leur compétence avec l’avancée en âge.
1- Le silicium organique joue un très grand rôle dans la synthèse du collagène et l’élastine et structure les glycosaminoglycanes ; mais ce qui nous intéresse spécialement dans cette présente réflexion est justement son rôle de régulateur sur le potentiel électrique de la membrane cellulaire et sa capacité de communication intra et intercellulaire.
Tout désordre de l’organisme vient, en partie du moins, d’un déséquilibre électrique cellulaire. Le silicium organique peut jouer un rôle important en augmentant les impulsions électriques entre les différentes molécules mais également dans le transport énergétique intra et intercellulaire (on peut découvrir la présence d’agrégats de silicium dans les mitochondries cellulaires qui jouent un grand rôle dans l’énergie intrinsèque).
2- Le silicium de part sa structure joue également un rôle de quartz régulateur d’impulsions ou de transmetteur de signaux de fréquences très stables régissant le mouvement du centriole.
Dès notre conception, dans le ventre de notre mère, une partie de notre comportement humain est enregistrée dans notre ADN cellulaire.
L’environnement, concept de réflexion épigénétique, va lui jouer un très grand rôle dans le reste de notre comportement. On considère que 15 % proviennent du génome et les 85% restant proviennent de l’environnement élargi…de l’environnement énergétique donc.
La thérapie quantique reconnait l’interdépendance entre « corps et esprit » et ce à tous les stades de la vie ; elle s’appuie sur l’utilisation de particules subatomiques, notamment des quantas qui sont d’infimes quantités de lumière et d’ondes électromagnétiques qui sont au centre de toute matière relevant de la composition cellulaire.
Un dysfonctionnement organique entraine autour des cellules, des tissus et des organes un champ magnétique altéré.
Le principe de fonctionnement du « LineQuartz » est donc d’utiliser certains rayonnements « biologiques » pour diminuer les interférences et rétablir l’harmonie et la stabilité dans le champ électromagnétique de l’individu.
L’information dans notre corps ne circule pas uniquement sous forme biochimique mais aussi sous forme électromagnétique. Nos cellules sont sensibles aux ondes vibratoires des molécules environnementales mais aussi aux influences des particules subatomiques.
Le « LineQuartz » permet de provoquer un décodage des « croyances » cristallisées dans nos cellules par des actions simultanées de plusieurs principes actifs reconnus (de musiques à fréquence définie, de couleurs spécifiques)véhiculées par des quartz (taillés d’une manière très précise) ayant la compétence de communiquer avec notre silice organique (celle qui reste ou qui est réintroduite)
La thérapie par « LineQuartz » a donc pour but de déprogrammer et reprogrammer les mémoires cellulaires (voir les sous-ensembles cellulaires identitaires contenues dans la membrane phospho-lipidique) de l’individu et améliorer ainsi le propre rythme biologique cellulaire afin de les délivrer parfois aussi des émotions douloureuses qui ont pu entraîner des « dégâts » physiologiques.
La thérapie par « LineQuartz » s’inscrit donc dans une logique de bio-résonnance qui en fait représente la capacité des êtres vivants à se syntoniser avec leur environnement (capter et émettre).
Nous sommes à l’aube d’une autre vision du monde (une vision quantique) qui laisse présager de nouvelles pistes thérapeutiques pour la prévention de la santé et le bien-être de l’être humain."
Source: Alain Servais Profeseur en neurophysiologie et psychomoticité: Préhambule à la conférence sur le LineQuartz du 10 novembre 2017 à Liège(Belgique) avec ses élèves de kinésithérapie pour évaluations et mémoires.
Que dit le Docteur Dominique Rueff (Cannes, F) sur "les courants de la vie" Le rôle des micro-courants en thérapeutique humaine est bien connu et décrit dans diverses publications. C’est au cours d’une réunion du groupe Chronimed [2] que j’ai entendu parler au début de l’année 2017, pour la première fois, de la « Bio-Électro photonique » [3] de Georges Vieilledent [4] et Raymond Herren [5]. Il n’en fallut pas plus pour aiguiser ma curiosité et me pousser à rencontrer Georges Vieilledent.
Depuis plus d'un siècle, la science connaît les bienfaits des très faibles courants pour stimuler l'organisme. Les premières recherches remontent au début du XIXème siècle avec les travaux du célèbre physicien italien Jean Galbani qui a donné son nom aux courants « galvaniques », puis en en 1855 le neurologue français Guillaume Duchenne, père de l’électrothérapie moderne qui montra la supériorité des courants alternatifs sur les courants continus afin de déclencher des contractions musculaires. Il faut également citer le français Jacques Arsène d’Arsonval, directeur du laboratoire de biophysique du collège de France, avant de fonder, en 1894, l’École Supérieure d’Électricité. Ses travaux constituent la base de l’électrothérapie moderne. Qu'est-ce qu'un micro-courant ? Un micro-courant est un courant de très faible intensité généralement utilisé pour reproduire les courants électriques cellulaires. Mis à part, parfois, quelques légers picotements, ils sont totalement imperceptibles et sans danger pour la santé. Ces micro-courants stimulent efficacement l'organisme et ses processus d'autoréparation. Et, de plus, ils sont totalement indolores et sans effets secondaires. Comment les micro-courants agissent-ils ? D'un point de vue scientifique, il est désormais prouvé que toute cellule vivante se caractérise par une importante activité électrique de l'ordre de quelques microvolts. Cette activité naturelle, à la fois changeante et complexe, tient au fait que le corps humain est en grande partie constitué d'eau saline (plus de 70% en termes de masse). L’électrothérapie aujourd’hui Dans leur ouvrage « Les ondes qui soignent » [10] Georges Vieilledent et Raymond Herren font une passionnante description de l’importance primordiale des ondes électromagnétiques dans la constitution et l’entretien du « vivant ». Le rayonnement électromagnétique, émis et reçu par chaque cellule de notre corps, c’est tout simplement la vie. Il agit en permanence, tant sur la masse liquidienne de notre organisme que sur nos cellules, leurs parois, leur communication, notre ADN. Qu’il s’agisse de vibrations mécaniques (ultrasons), d’énergie lumineuse (Bio Photons ou UV ou infra rouges) ou de champs magnétiques, toutes ces ondes ont des effets spécifiques sur le corps humain. Perspectives en guise de conclusions Les interactions électriques, électromagnétiques et photoniques font partie intégrante de la vie. Elles sont captées et utilisées dans de nombreuses applications totalement invisibles que nous côtoyons quotidiennement, dont nous aurions beaucoup de mal à nous passer et que nos parents n’auraient même pas imaginées. La recherche vise à mieux utiliser ces champs et à les proposer comme des compléments à d’autres thérapies. L’utilisation des micro courants devrait légitimement rejoindre la cohorte des thérapies corporelles efficaces. Ces dernières, encore une fois, ne se substitueront pas à la médecine conventionnelle mais viendront l’enrichir. |
Le 15 janvier 2018
Bibliographie dans le texte.
Le « décodage biologique », aussi appelé « déprogrammation cellulaire » ou « médecine nouvelle », indique qu’un choc émotionnel est souvent à l’origine du trouble. Une cartographie précise a même été établie, qui relie chaque organe à un conflit particulier. Aujourd’hui, elle ne constate que des faits sans en donner l’explication. Or le système énergétique du corps humain permet de comprendre ce mécanisme.
Tout commence par un organisme encrassé : les toxiques, les polluants, les radicaux libres, les acides… Des études ont démontré que nous sommes tous pollués à des degrés divers. À cela s’ajoute l’acidose – due à une alimentation industrielle, au stress, à la sédentarité, à un manque d’oxygénation. Sans oublier les antécédents personnels, les maladies et leurs séquelles, la perte de sens qui fragilisent davantage le terrain.
La loi d’attraction
Si, dans ce contexte, survient un choc émotionnel intense – selon le décodage biologique (voir encadré ci-dessous), c’est un conflit mal vécu qui est à la source d’une pathologie –, l’événement touchera d’abord les corps subtils qu’il pénétrera telle une flèche. Or cette émotion n’est rien d’autre qu’une information véhiculée par une énergie qui possède sa propre vibration. En effet, l’énergie de l’amour, par exemple, n’émet pas la même onde que celle de la haine ou de la culpabilité, ou encore de la rancœur.
Une fois dans le corps vital, cette flèche ne se dirige pas au hasard : elle est attirée par l’organe qui vibre sur la même fréquence qu’elle. Certains appellent cela « la loi d’attraction », on peut aussi parler de résonance. Car si un organisme vibre à une fréquence particulière, chacune de ses parties, organes et tissus, vibre à sa fréquence propre : celle du coeur n’est pas la même que celle du foie ou d’un os.
Baisse du niveau vibratoire
Lorsque l’émotion et l’organe se trouvent en résonance, la flèche se fixe donc sur l’organe. C’est le même phénomène que lorsqu’on capte une station de radio en plaçant le bouton du tuner sur la bonne fréquence. La flèche émotionnelle commence alors par bloquer la circulation énergétique : le champ vibratoire de l’organe va donc baisser. De plus, les énergies dégradées et dénaturées commencent à s’y accumuler, aggravant ainsi la situation.
Sur le plan physique, il se produit immédiatement une inversion de la polarisation des cellules de l’organe touché par la flèche émotionnelle. Du coup, une inflammation se produit, apportant un afflux de sang et, avec lui, des toxiques – polluants, métaux lourds, acides, radicaux libres – qui s’accumulent dans l’organe, induisant d’abord un dysfonctionnement, puis une maladie. Cela peut aller jusqu’au cancer.
Le temps d’apparition de la maladie dépend essentiellement de la durée et/ ou de l’intensité de l’émotion. Un choc particulièrement intense peut générer immédiatement une maladie. Dans le cas d’un choc moins violent, mais qui n’est pas résolu par la personne, il perdure et attire à lui d’autres situations du même ordre (toujours par résonance). Ce qui ne fait qu’empirer le problème, tant du point de vue énergétique que physique.
L’énergie à l’interface
Ces phénomènes confirment ainsi différentes approches médicales :
· du point de vue physique, les polluants, toxiques, acides, radicaux libres constituent bien les causes de l’apparition de la maladie
· du point de vue psychologique, il y a bien souvent (mais pas toujours) un choc émotionnel inaugural qui détermine aussi la localisation de la maladie. Ce choc n’est pas la cause mais son facteur déclenchant, ce qui est différent ;
· enfin, du point de vue énergétique, il existe bien un blocage sur l’organe, avec une baisse du niveau vibratoire de la personne ainsi qu’une accumulation d’énergies perverses.
L’énergie se situe donc à l’interface du physique et du psychisme. Les traitements devront agir sur les trois plans :
· physique – décrassage de l’organisme, mode de vie et d’alimentation sain, etc. ;
· psychique – résolution d’anciens conflits, travail sur ses propres valeurs, élimination des peurs…
· énergétique – levée du blocage, élimination des énergies usagées.
Et si la maladie reste inscrite dans le corps de la personne, l’association d’un traitement naturel et/ou conventionnel devient alors nécessaire.
Décoder les maux du passé
Le décodage biologique repose sur l’idée que toute maladie trouve sa source dans une émotion mal gérée. Il permet de décrypter certaines croyances inscrites dans notre inconscient, qui ont généré des émotions négatives, puis une série de désordres, aboutissant à un trouble fonctionnel. Ces croyances ont été élaborées lors d’expériences difficiles, – impossibles à comprendre à l’âge auquel elles ont été vécues, souvent dans l’isolement – et sur lesquelles nous avons projeté des conclusions erronées. Le décodage biologique est un outil de diagnostic qui s’appuie sur une multitude d’observations de nos mécanismes inconscients quand nous sommes soumis au stress. Une fois établi, il s’agit en quelque sorte de reprogrammer notre carte mémoire.
Dr Luc Bodin
Le silicium est un élément minéral(SI) provenant principalement des roches, du sable ou encore du quartz(SIO2). C’est un des éléments les plus présents sur notre planète mais pas que…
En effet, le silicium est aussi présent dans le corps humain, cependant celui-ci tend à s’amoindrir avec l’âge. De plus, la dénaturation des nutriments présents dans l’alimentation crée de nombreuses carences en silicium.
Le silicium est un capteur d'énergie, il permet avant tout de bio synthétiser différentes molécules dont le collagène, l’acide hyaluronique ou encore l’élastine. Ces molécules entrent dans la composition du cartilage, de la peau et des os. C’est aussi un élément important dans le fonctionnement du système immunitaire. En résumé, il intervient sur toute la sphère articulaire, cardiovasculaire (en cas d´athérosclérose), la peau, les ongles et les cheveux.
Comme nous avons vu précédemment, le silicium joue un rôle majeur dans la constitution du collagène et permet de synthétiser les glucosaminoglycans présents dans le cartilage osseux. Il permet donc de retarder la dégénérescence du cartilage qu’entraîne l’arthrose et en soulager nettement les symptômes .
Conclusion : un manque d'information positive sur nos capteurs silicium organique pourrait être responsable de l’arthrose. les supplémentassions peuvent donc être très intéressante. Se régénérer par les photons solaires pour sintériser la vitamine D3 ou par les bio photons du LineQuartz celui-ci intervenant en directe sur nos cellules organiques.
Rappelons aussi que le silicium est un fixateur naturel du calcium et du magnésium.
Ces conseils ne se substituent pas à une consultation médicale. En cas de doutes, n’hésitez pas à consulter votre médecin traitant.
· Un remède universel ? Oui!
· Les Aztèques, comme les Chinois, connaissaient les vertus curatives de la silice, leur médecine utilisant la poudre d'obsidienne ou de jade. Les nombreuses études menées, autant que les résultats empiriques observés avec le silicium, confirment son action à plusieurs niveaux :
· - Le silicium joue un rôle prépondérant dans le métabolisme général de l'organisme : il intervient dans le processus de régénération des cellules en rétablissant l'équilibre ionique des cellules endommagées ou affaiblies et en relançant les échanges cellulaires.
· - Il protège les os et les articulations : c'est une « brique » essentielle de l'os. Sa présence est indispensable à la synthèse des fibres d'élastine et de collagène or la calcification ne peut avoir lieu qu'en présence de collagène... Il sera utile en particulier pour les problèmes d'arthrose.
· - Il protège la peau : élément constitutif de celle-ci, il contribue à son architecture et à son élasticité. C'est la carence en silicium qui provoque le desséchement de la peau et l'apparition de rides... Il améliore aussi la qualité des ongles, des cheveux et des dents...
· - Il protège le muscle cardiaque et le système circulatoire : partie intégrante des parois vasculaires, il agit indirectement sur la tension vasculaire, maintient l'intégrité des parois du coeur et protège les artères en favorisant leur imperméabilité aux substances lipidiques nocives du sang circulant...
· - Il protège des radicaux libres et de l'oxydation : grâce à sa structure électromagnétique particulière, il est en constante recherche d'équilibre ionique, d'où cette activité antioxydante.
· - Il accélère les processus de cicatrisation : son apport permet d'augmenter le taux en hydroxyproline, acide aminé essentiel au processus de cicatrisation.
· - C'est un anti-inflammatoire puissant : de nombreux kinés l'emploient pour atténuer les douleurs telles que les tendinites, les contractures et douleurs articulaires.
· - Il renforce les défenses immunitaires de l'organisme : il est en effet indispensable au processus de déclenchement de fabrication des antigènes et des anticorps.
· Il fait tout, alors ? Me direz-vous.
· Oui car une quantité impressionnante d'autres propriétés sont répertoriées, qui font du silicium un élément utile contre les douleurs articulaires mais aussi, par exemple, le diabète (le pancréas est particulièrement riche en sillicium). C'est aussi un élément idéal pour un convalescent. En résumé, le rôle de la silice dans le corps humain est tellement fondamental qu'il s'applique à une quantité innombrable de pathologies.
source: https://www.alternativesante.fr/silicium-organique
Nos corps produisent, captent, stockent, et conduisent de l’énergie.
Guidés par une matrice vivante par Miriam GABLIER
La science affirme que nos corps sont entourés de champs énergétiques chargés d’informations. Quel est leur rôle ? Serait-il de guider la croissance et la réparation de nos organismes ? Y aurait-il une forme d’intelligence dans cette structure invisible ?
Les salamandres ont longtemps marqué les esprits. On leur prêtait de nombreux pouvoirs magiques, dont celui de naître dans le feu ou de lui résister. « Ces habitants enflammés de la région du feu servent les sages », écrivait l’abbé de Villars. Le prestige de ces créatures était tel que des rois de France, tel François Ier, en firent leur emblème. Aujourd’hui, nous savons qu’elles sont non seulement capables de régénérer un membre perdu, mais également des organes, tel un oeil, et leur moelle épinière.
Comment ces championnes de la régénérescence, qui opèrent loin devant les poissons-zèbres ou les étoiles de mer, engendrent-elles des cellules qui savent se différencier en os, en muscles, en vaisseaux sanguins, en réseau nerveux ?
C’est l’étude des salamandres et de leur croissance neuronale qui mit Saxton Burr (1889-1973) sur la piste d’une théorie du « développement électrodynamique ». En effet, ce professeur d’anatomie et chercheur de la prestigieuse école de médecine de Yale eut une idée incongrue pour l’époque : il décida de mesurer les variations électriques produites pendant leur régénérescence. Il trouva que certaines oscillations étaient corrélées à des accélérations biologiques. Il poursuivit des années durant l’étude des aléas de l’activité électrique de plantes, d’animaux et d’humains.
Sa conclusion ?
L’électricité est fondamentale pour le fonctionnement de tous les systèmes vivants. Plus encore, chaque être est entouré d’un « champ de vie » (life field) qui le moule et le contrôle. Entendez bien : il y aurait autour de nous un champ énergétique et informationnel qui administrerait notre biologie ! À l’heure actuelle, un faisceau de recherches donne raison à Saxton Burr. Des scientifiques pensent même qu’il y aurait un « schéma directeur » ou une « matrice vivante » invisibles. La médecine conventionnelle pourrait en être bouleversée.
Anatomies subtiles
Difficile de nier que nos corps produisent, captent, stockent et conduisent de l’énergie. « Il est aujourd’hui totalement et scientifiquement admis que le corps possède de nombreux champs d’énergie. Ils sont identifiés par des technologies de pointe telles que l’électrocardiogramme, l’électroencéphalogramme, l’électromyogramme, l’IRM ou encore le SQUID, etc. », affirme James Oschman, auteur de Médecine énergétique : les bases scientifiques. La science a démontré que toute activité organique est associée à un phénomène électrique mesurable. Et puisque tout flux électrique dans un organisme génère un champ magnétique, il apparaît que nos corps créent des champs électromagnétiques. Rollin McCraty, directeur de recherche au Heart- Math Institute aux États-Unis, a mesuré que l’activité électrique du coeur produit un champ magnétique pouvant aller de 45 centimètres à trois mètres dans l’espace autour de l’organe !
Par ailleurs, les scientifiques ont mis en évidence que les organismes vivants manient différents signaux. Il n’y a donc pas « une » mais « des » énergies dans le corps : « Il y a les signaux électromagnétiques, électroniques, thermiques, photoniques (lumière) et phoniques (sons). Certains chercheurs évoquent également les ondes scalaires et les ondes de torsion, qui pourraient correspondre à des formes d’énergie plus subtiles », détaille James Oschman. Ainsi, les données scientifiques actuelles étayent les descriptions d’anatomies subtiles faites par des traditions millénaires. Les Indiens ont par exemple décrit un système composé de chakras, de nadis et d’auras qui sont respectivement des centres, des canaux et des couches énergétiques à l’intérieur et autour du corps. Les Chinois ont dépeint un système composé de points et de méridiens d’acupuncture, de centres et de canaux subtils. Mais ce qui intéresse maintenant les chercheurs, c’est de comprendre à quoi peuvent servir ces champs. Une symphonie vivante Les mesures scientifiques ont mis en exergue que chaque atome, molécule, cellule, tissu et organe a une fréquence spécifique. Notre biologie émettrait différents murmures énergétiques.
Mais toutes ces fréquences ne créent-elles pas une sorte de cacophonie ?
« Je dirais plutôt que le corps est un orchestre symphonique », pointe James Oschman. Tout d’abord, quand deux éléments vibrent à la même fréquence, ils se mettent à résonner à l’unisson. Ce faisant, ils échangent de l’énergie et de l’information. Ainsi, ce n’est pas la force du signal qui compte, mais sa signature et les résonances peuvent se faire à distance. « Beaucoup d’études ont démontré que des molécules peuvent communiquer alors qu’elles sont séparées par des barrières physiques bloquant tous signaux chimiques ou électriques. En fait, leurs fréquences résonnent ensemble », indique le chercheur.
Par ailleurs, la science est maintenant capable de mesurer que, comme en musique, ces résonances créent des harmoniques complexes entre elles. Les harmoniques se produisent lorsque des notes forment des accords cohérents, parce qu’elles sont des multiples les unes des autres. Cela veut dire que les différents éléments de notre corps s’organiseraient en créant des ensembles harmonieux à plusieurs voix ! « Ces vibrations cohérentes, les harmoniques, ne se limitent pas à la surface d’une molécule, d’une cellule ou d’un organisme. Elles sont les propriétés collectives ou coopératives de l’être entier. Du coup, en tant que telles, elles sont susceptibles de servir de signaux coordinateurs », souligne James Oschman. Conclusion : l’ensemble de ces fréquences formerait un système coordinateur. Cette proposition, soutenue par des faits scientifiques, a l’avantage de répondre à des questions jusqu’ici sans réponse.
Des scénarios insatisfaisants
Les processus de guérison, qui impliquent la coordination d’un nombre incalculable de fonctions, comptent parmi les phénomènes vivants les plus complexes. Le problème, c’est que la science conventionnelle propose que ce soient le système nerveux et la diffusion chimique qui assurent leur communication. Cependant, ces derniers sont beaucoup trop lents.
« S’ils étaient responsables du métabolisme cellulaire, il nous faudrait dix mille ans pour digérer notre petit déjeuner ! », s’exclame James Oschman. Des mécanismes plus rapides doivent être impliqués. Par ailleurs, on nous apprend que l’ADN guide le développement de l’organisme et que la question de la « planification » biologique est résolue. En réalité, l’ADN détient le code pour l’assemblage des protéines ‒ les « briques » de l’organisme. C’est donc essentiel.
Cependant, nous n’expliquons toujours pas comment ces protéines s’assemblent ni comment une cellule se différencie et s’organise pour créer un organisme entier. Des études ont par exemple montré qu’il n’y a pas d’enchaînement fixe dans l’assemblage de notre corps. Deux individus auront au final les mêmes organes, mais les étapes de construction seront différentes chez chacun ! Tout se passe comme si les cellules savaient à quoi doit ressembler l’agencement ultime et inventaient différents chemins si des obstacles environnementaux se présentaient. Par ailleurs, Sandy Becker, un chercheur en embryologie, a démontré qu’une cellule différenciée peut revenir en arrière et se « dédifférencier » sous l’influence de faibles stimulations électriques.
Des informations en provenance des champs énergétiques joueraient-elle au chef d’orchestre ?
Une matrice vivante
« De nombreux chercheurs soutiennent qu’au vu des données scientifiques actuelles, nous pouvons avancer que le biochamp est un système de communication ultrarapide », informe James Oschman. Il a lui-même découvert qu’il existe un réseau moléculaire à travers tout le corps : une toile continue qui va de l’ADN à la peau, en passant par le tissu conjonctif. Il l’a appelé la « matrice vivante ». En effet, il serait scientifiquement possible que les molécules semi-conductrices de cette toile constituent un vaste circuit électronique.
Des molécules organiques sont déjà utilisées dans l’industrie pour fabriquer des circuits électroniques. « Cette matrice peut tout d’abord transférer de l’énergie et de l’information très rapidement d’un lieu à un autre. Et en tant que système électronique, elle possède la capacité de traiter cette information, comme le fait un ordinateur ou tout autre appareil à circuit imprimé », soutient James Oschman.Voilà qui est inattendu : un réseau, plus ancien que le système nerveux sur le plan évolutif, serait le support d’une communication énergétique capable de traiter et de stocker de l’information ! Cette toile est-elle utilisée par les organismes dépourvus de système nerveux ? « Autre fait surprenant, la matrice vivante n’a pas d’unité centrale ou fondamentale. Il n’y a pas une partie qui soit primaire ou plus importante, qui centraliserait l’information et qui serait en quelque sorte le “cerveau” de la matrice », signale James Oschman.
Une question se pose inévitablement : ces champs sont-ils porteurs d’une forme d’intelligence, voire d’une conscience ?
Une frontière à explorer
« Vous savez, de nombreux savants pensent que tout est conscience ! », répond James Oschman. Tout dépend donc de ce que nous entendons par conscience. Ce que nous pouvons dire est que ces champs se montrent plus sensibles, réactifs et rapides que les réseaux biochimiques. Ils pourraient détenir des données concernant les schémas directeurs de la construction d’un individu que ne détiennent pas nos gènes. Enfin, ils seraient aptes à traiter de l’information et à prendre des décisions intelligentes.
Ainsi vus par le prisme de la science, ces champs sont considérés comme étant porteurs de programmes interactifs qui formeraient une matrice permettant à l’expérience individuelle de prendre corps. Ils n’enlèveraient rien au libre arbitre et n’expliqueraient pas le mystère de l’apparition de la conscience subjective. Ils seraient des sortes d’interfaces entre une manifestation individuelle, des informations collectives concernant l’espèce et, possiblement, les mémoires psychiques collectives. Ainsi, l’existence des champs énergétiques – admise depuis longtemps par les approches énergétique et informationnelle – est à l’heure actuelle en train de révolutionner la médecine conventionnelle. Ce qui est étonnant, c’est que les médecins et les hôpitaux, utilisent déjà des procédés énergétiques (électrocardiogramme, électroencéphalogramme, électromyogramme, IRM, lumière pulsée, etc.) souvent sans avoir conscience des changements conceptuels qu’ils engendrent : notre biologie est en grande partie énergétique ! La réintégration du plan énergétique par l’approche matérialiste n’est donc plus qu’une question de temps.
Des champs morphogénétiques
Pour Rupert Sheldrake, chercheur en biologie diplômé de l’Université de Cambridge, chaque organe, individu, famille, espèce serait entouré d’un champ morphogénétique porteur de mémoires et avec lequel il échangerait des informations. « Les champs morphogénétiques sont des champs invisibles qui ordonnent les formes. On pourrait dire que le champ “résonne” une forme et que la matière dans ce champ s’organise selon cette résonance morphique », explique-t-il.
Des champs psychiques
Les champs énergétiques et informationnels pourraient expliquer la présence de mémoires psychiques collectives, tels l’inconscient collectif de Carl Jung ou la noosphère de Pierre Theilhard de Chardin. En effet, « les pensées donnent naissance à des schémas spécifiques d’activité électrique et magnétique dans le système nerveux », indique James Oschman, chercheur et docteur en biologie. Les schémas de nos pensées pourraient s’inscrire dans les champs, y laisser des mémoires ou consolider des trames archétypales existantes.
Auteur: Miriam Gablier
Source Web/ www.inrees.com/articles/guides-matrice-vivante-aura-champs-energetiques/
La carence prolongée en vitamine D3 peut entraîner le rachitisme et l’ostéomalacie. Le rachitisme est une maladie qui affecte les enfants et qui se caractérise par des symptômes tels que la perte de puissance musculaire, les douleurs osseuses, un retard de croissance et des déformations squelettiques et dentaires. L’ostéomalacie affecte les adultes et provoque une faiblesse des os et des muscles, des douleurs osseuses et des fractures.
Les enfants atteints de rachitisme et les adultes qui en ont eu quand ils étaient enfants ont souvent les jambes arquées.
Les personnes ayant des problèmes digestifs comme la maladie cœliaque, des problèmes de foie ou la maladie de Crohn sont plus susceptibles d’avoir de faibles niveaux de vitamine D3.
La lumière du soleil est une source naturelle de vitamine D3, et les personnes allant peu ou jamais à l’extérieur (par exemple, les personnes dans des maisons de repos ou les patients hospitalisés et alités) sont plus susceptibles de développer une carence d’où l'intérêt du LineQuartz et ses bio photons substitut des photons solaires.
Plus la peau est foncée, plus le risque de carence augmente car la peau foncée à tendance à filtrer les rayons UV et donc le soleil, comme il est souvent noté le peau foncée ont consommé leurs capital soleil(ce qui peut-être positif esthétiquement mais moins pour la sintérisation de la vitamine D). Cela s’explique par l’action de la mélanine pigment de la peau plus présente dans les peaux foncées qui ralentit l’absorption de la vitamine D3.
Certaines études suggèrent que l’heure à laquelle vous recevez des rayons du soleil influe sur la façon dont votre corps absorbe la vitamine D3. En effet une exposition régulière au soleil entre 8 heures et 12 heures et à partir de 16 heures l'été offrirons un bon dosage en Unité Internationale en vitamine D3( soit environ 20 000UT/ jours sachant que notre consommation est d'environ 5000UT / jour)( 1 UT= 0.30 ng de VITAMINE D3)
Le cholécalciferol (autre nom pour la vitamine D3) est important pour l’absorption du calcium et du phosphore dans l’estomac et le bon fonctionnement des minéraux. Le calcium et le phosphore aident à garder des os et des dents solides. La carence en vitamine D peut causer de faibles niveaux de calcium et de phosphore dans le corps, ce qui peut entraîner des os faibles et des problèmes dentaires.
Le cholécalciferol compense la perte osseuse et réduit les fractures chez les patients atteints d’ostéoporose. Si les concentrations sanguines de calcium et de phosphore deviennent trop faibles, votre corps libère des hormones parathyroïdes pour réabsorber les minéraux de vos os. Cela conduit à une fragilité des os et renforce le risque de fractures, même sans accident ou blessure.
Il y a un débat sur la question de savoir si la vitamine D3 fonctionne pour traiter l’acné.
Le site web Vitamin D Council (le conseil de la vitamine D en français) indique que le manque de lumière solaire peut augmenter l’acné, et certaines personnes remarquent une aggravation de l’acné pendant l’hiver et une amélioration pendant l’été.
Pourtant, il n’existe aucune étude clinique qui démontre formellement l’efficacité de la vitamine D3 pour l’acné.
Il existe également très peu de preuves qui appuient l’utilisation de la vitamine D dans la prévention de l’acné.
Cependant, certains rapports anecdotiques affirment que l’acné s’est améliorée après la prise de suppléments de vitamine D ou après application (sous forme huileuse) sur leur peau.
Deux formes de vitamine D existent : la vitamine D2 ou ergocalciférol produite par les végétaux et la vitamine D3 ou cholécalciférol produite par les animaux, ainsi que par certains lichens.
Sources de cholécalciférol
Vous pouvez également obtenir la quantité recommandée de cholécalciférol à partir de l’exposition au soleil pendant 15 minutes trois fois par semaine, selon le site internet de la bibliothèque américaine de médecine.
Le LineQuartz favoriserait également la fabrication de vitamine D3(non encore démontré scientifiquement mais ses principes actifs en action sur notre système immunitaire laissent apparaître une augmentation d'énergie pérenne comme cela est le cas avec les photons solaires) Si vous ne parvenez pas à manger des aliments riches en cholécalciférol, vous pouvez obtenir de la vitamine D3 avec le LineQuartz par une utilisation régulière pour une action préventive.
Consultez votre médecin avant de prendre des suppléments de cholécalciférol.
"Les médecins occidentaux commencent à peine à réaliser les ravages provoqués par les conflits de notre vie intérieure, les chocs ou les blocages émotionnels.
C’est une « pollution » dont on ne se méfie pas suffisamment… alors qu’elle peut agresser notre organisme aussi gravement que les produits chimiques les plus toxiques.
Le Pr. David Khayat, cancérologue et chef du plus grand service de cancérologie de France, l’a récemment reconnu :
« Pendant de nombreuses années, je dois le reconnaître, j'ai été assez réfractaire à l'idée que le stress, le malheur, la tristesse puissent être à l'origine du cancer. Mais aujourd'hui, j'ai changé d'avis »
Comme ce professeur, de nombreux médecins commencent enfin à admettre que les émotions négatives peuvent rendre malade.
Mais la plupart d’entre eux ignorent tout des ressources époustouflantes de notre cerveau pour guérir.
Voici pourtant quelques exemples de découvertes scientifiques réalisées ces 6 derniers mois :
Malgré l’accumulation de preuves scientifiques, la médecine moderne ne s’intéresse pas à ces résultats. Elle est trop habituée à cibler l’organe ou l’endroit qui fait mal, en oubliant l’équilibre global de la personne.
Pourtant, votre cerveau est la plus incroyable pharmacie naturelle de votre corps : il crée toutes les « molécules » et hormones qui vous soignent, régulent votre prise de poids et optimisent la santé vos organes.
Les pouvoirs thérapeutiques de l’esprit sont efficaces, simples et gratuits. Mais encore faut-il être bien conseillé. Et rares sont les thérapeutes sérieux formés à ces nouvelles méthodes.
Résultat : trop peu de patients profitent aujourd’hui de leurs incroyables bienfaits.
Bien à vous, Xavier Bazin"
Source Web: www.sante-corps-esprit.com
Remontées acides = danger
On croit toujours que les brûlures d’estomac et remontées acides sont causées par trop d’acidité dans l’estomac.
C’est faux – et c’est idiot.
L’estomac est fait pour être acide. Plus il est acide, mieux il fonctionne puisque son rôle est de dissoudre (digérer) les aliments.
Il contient même de l’acide chlorhydrique, cet affreux acide avec lequel les tueurs font dissoudre les corps dans les baignoires dans les films de violence, mais qui dissout aussi les simples aliments.
Vous connaissez ce produit qui n’est vendu dans le commerce que dans des bouteilles grises opaques avec bouchon sécurisé, et une inquiétante image noire sur fond orange :
Mais la Nature a bien fait les choses : notre estomac ne craint pas l’acidité.
Sa paroi intérieure est recouverte d’une épaisse couche de matière gluante, le mucus, qui résiste à l’acide.
Les problèmes ne commencent que lorsque cette protection est attaquée par des médicaments qui dissolvent le mucus (aspirine, ibuprofène, diclofénac, acide méfenamique, et autres anti-inflammatoires non-stéroïdiens), lorsque nous fumons trop, ou à cause d’une bactérie appelée Helicobacter Pylori
Helicobacter Pylori est une bactérie très dangereuse. Après avoir attaqué la muqueuse de l’estomac et provoqué un ulcère, elle peut déclencher un cancer de l’estomac.
Le phénomène était fréquent autrefois à cause des boîtes de conserve mal pasteurisées et des aliments conservés en saumure ou en salaison. Il l’est beaucoup moins aujourd’hui grâce à de meilleures techniques de production, aux produits frais ou surgelés et aux traitements antibiotiques. D’où une forte régression des ulcères et des cancers de l’estomac.
Des remontées acides dans l’œsophage (le tube qui descend de la bouche à l’estomac) se produisent quand le clapet qui ferme l’estomac par le haut fonctionne mal.
Contrairement à l’estomac, l’œsophage n’a pas de couche de protection en mucus. La chair est à vif, et elle est aisément attaquée par l’acide chlorhydrique.
Vous éprouvez alors une sensation de brûlure extrêmement pénible, qui s’aggrave quand vous vous couchez et que le contenu de votre estomac coule dans votre œsophage. La douleur commence dans la poitrine, à l’arrière du sternum, puis remonte vers la gorge. Un goût amer ou acide peut apparaître dans la bouche, et les symptômes se renforcent après un repas quand l’estomac est plein.
C’est un problème très courant : il touche 5 millions de Français, et 15 % de la population mondiale.
Le réflexe naturel est alors de vouloir calmer le problème en réduisant l’acidité de l’estomac, ce qui est très facile à faire en avalant des produits qui neutralisent l’acidité.
Le bicarbonate de soude, le carbonate de calcium, l’hydroxyde de magnésium ou d’aluminium, sont tous des produits couramment utilisés. L’acidité de l’estomac baisse immédiatement quand on les avale car ce sont des matières très « basiques » (le contraire de « acides »).
Un autre type de médicament très répandu contre les douleurs d’estomac sont les inhibiteurs de la pompe à proton (IPP), des médicaments qui bloquent la production d’acide chlorhydrique dans l’estomac : Oméprazole, Ezoméprazole, Lezoméprazole, Pantoprazole, Lansoprasole, Rabeprazole.
Là aussi cela paraît génial : l’acidité de votre estomac s’effondre, vous n’avez plus mal.
Mais évidemment, il ne faut pas avoir faire 10 ans de médecine pour se douter que réduire l’acidité du liquide dans l’estomac pose aussi un problème plutôt gênant : vous ne digérez plus vos aliments comme avant !
Ceux-ci passent dans l’intestin sans avoir été convenablement dissous. Il y a des morceaux, de grosses molécules qui vous ne pouvez assimiler.
Vous n’absorbez plus comme avant le calcium, la vitamine C, le fer, le zinc ni le magnésium, ni d’ailleurs des centaines d’autres nutriments essentiels absolument indispensables pour la santé. Sur le long terme, une carence en vitamine B9 et B12 s’installe.
Vous ne vous étonnez pas que votre risque d’Alzheimer et de démence sénile augmente de 44 à 66 %, [1] votre risque d’infarctus bondit de 20 %, et votre risque de mourir d’une maladie cardiovasculaire de 122 % !! [2]
Vous avez aussi beaucoup plus de risque de maladie du rein. [3]
Globalement, la prise d’IPP au long cours augmente votre risque de décès prématuré de 76 % !! [4]
La goutte qui fait déborder le vase : moins acide, votre estomac ne tue plus comme avant les éventuelles bactéries dangereuses qui se seraient trouvées par accident dans votre nourriture, comme le C. Difficile.
C’est pourquoi tous ces médicaments anti-acides, qui peuvent être utiles dans l’urgence, ne doivent en aucun cas être utilisés sur le long terme.
Pourtant, et c’est là un immense scandale sanitaire, ils sont désormais avalés quotidiennement pendant des années par des millions de personnes.
Cela pourrait être une explication majeure de l’explosion du nombre de cas d’Alzheimer, de décès cardiaques et autres maladies du vieillissement.
Il existe de multiples solutions naturelles efficaces contre les brûlures d’estomac.
Les mesures préventives, évidentes, sont de limiter ou éliminer totalement les médicaments qui abîment la couche de mucus protectrice de l’estomac : j’ai cité les AINS, il y a aussi les médicaments contre la toux grasse (acétylcystéine) et certains antibiotiques.
Si votre médecin ne vous permet pas de les arrêter, veillez à toujours prendre vos médicaments pendant ou après le repas, au moment où ils seront mélangés à votre nourriture et moins concentrés pour attaquer la paroi.
Arrêtez de fumer si c’est le cas.
Si vous avez un gros ventre et un excès de graisse dans l’abdomen, il est très important de maigrir car la graisse peut exercer une pression sur l’estomac et faire remonter son contenu dans l’œsophages.
Mâchez bien vos aliments, éviter les plats épicés, frits, les jus de fruits acides.
En cas de remontées acides, marchez après le repas pour favoriser la digestion en position verticale, et dormez avec le haut du corps légèrement surélevé.
Il existe de nombreuses tisanes apaisantes :
Vous pouvez acheter en herboristerie et en magasin bio des médicaments de chélidone, à prendre sous forme de goutte ou en comprimé.
Le jus de chou, comme le jus de pomme de terre, exercent aussi un effet apaisant.
Néanmoins, si votre reflux est provoqué par un problème mécanique (hernie hiatale par exemple), il est important de vous faire suivre par un médecin qui pourrait, le cas échéant, vous prescrire une intervention chirurgicale.
De même, si les symptômes persistent au-delà de 4 jours malgré ces mesures, il est important de consulter pour exclure d’autres maladies potentiellement graves comme un cancer. A votre santé !
JM Dupuis
Sources :
[1]Association of Proton Pump Inhibitors With Risk of Dementia – A Pharmacoepidemiological Claims Data Analysis JAMA Neurology February 15 2016 doi:10.1001/jamaneurol.2015.4791
[2] Proton Pump Inhibitor Usage and the Risk of Myocardial Infarction in the General Population, Shah NH, LePendu P, Bauer-Mehren A, Ghebremariam YT et al. PLoS ONE, 2015, 10(6): e0124653. DOI:10.1371/journal.pone.0124653 June 10, 2015
[3] Proton Pump Inhibitor Use and the Risk of Chronic Kidney Disease. JAMA Intern Med. 2016 Feb 1;176(2):238-46. doi: 10.1001/jamainternmed.2015.7193.
[4] Proton Pump Inhibitors Are Associated with Increased Risk of Development of Chronic Kidney Disease, Pradeep Arora, Mojgan Golzy, Anu Gupta, Rajiv Ranjan, Randy L. Carter, James W. Lohr. Nephrology, VA Medical Center, Buffalo, NY; Medicine, SUNY, Buffalo, NY; Dept of Biostatistics, UB, Buffalo, NY.
Voici une liste non exhaustive de liens vers des articles parus sur différents sites médicaux:
Brûlure d'estomac: attention aux médicament! http://www.sante-corps-esprit.com/brulures-destomac-reflux/
Le LineQuartz, l'instant d'un Film sur: https://youtu.be/RRWLDAsrfdE.
Le Linequartz conventionné par ASETYS Mutuelle santé des Thérapies Naturelles.
Cette mutuelle se décline en plusieurs versions adaptées aux différents types de clientèle(particuliers, collectif, TNS, Retraités, Surcomplémentaires). Elle prend en charge les remboursements habituels liés aux dépenses de santé prise en compte par le Régine Obligatoire en France métropolitaine et DOM/TOM, mais rembourse égalementet de façon spécifique les dépenses lié aux honoraires de Praticiens non médecins des Thérapies Naturelles et du Bien-être non pris en compte par le Régine Obligatoire, ainsi qu'aux achats de Produits de Thérapies Naturelles non pris en compte par le Régime Obligatoire.
Plus d'information sur la page: http://www.linequartz.com/mutuelle
Les modalités de ces remboursements peuvent être consultées sur le site: www.asetys.fr
Automne-hiver, le temps de la dépression saisonnière
L'été est loin, le froid et la grisaille s'installent... Et la tristesse aussi, pour tous ceux qui souffrent de dépression saisonnière. Cette forme de troubles dépressifs, qui survient en automne et en hiver, touche 4 à 6% des Français et s'explique par le manque de luminosité.
Heureusement, un traitement simple existe : la luminothérapie.
Dépression saisonnière : en cause le manque de lumière
Une tristesse soudaine, une léthargie tenace, une envie folle de dormir ou de manger, une baisse de libido, de l'anxiété... Tous ces symptômes peuvent faire penser à une dépression saisonnière, une affection à ne pas confondre avec le petit coup de blues que beaucoup de personnes connaissent à cette époque de l'année. Egalement appelée trouble affectif saisonnier, elle touche en majorité les femmes (75% d'entre elles disent souffrir de ce mal) ainsi que les enfants. Elle est caractérisée par sa récidive chaque année, à la même période, durant l'automne ou l'hiver.
Comme tous les êtres vivants, nous sommes soumis à des rythmes naturels. Ces rythmes sont régulés par des "synchronisateurs" internes et externes. Parmi les synchronisateurs internes, la lumière est très importante. La lumière joue un rôle dans la régulation de notre horloge biologique et contrôle plusieurs fonctions comme l'alternance veille/sommeil et la sécrétion de certaines hormones.
Après avoir pénétré dans l'oeil, les rayons lumineux atteignent la rétine. Dans la rétine, il y a des cellules capables de transformer le message lumineux en message électrique. Ce message électrique est envoyé au cerveau grâce au nerf optique.
Dans le cerveau, le noyau suprachiasmatique est informé de l'intensité lumineuse extérieure. Ce noyau suprachiasmatique est en lien avec le noyau paraventriculaire puis une glande, l'épiphyse (qu'on appelle aussi glande pinéale), qui sécrète une hormone qui régule les cycles éveil/sommeil et influence notre humeur : c'est la fameuse mélatonine.
Chez les personnes sensibles, la baisse de la luminosité hivernale entraîne une "désynchronisation" de l'horloge interne et perturbe la sécrétion de la mélatonine. Les symptômes de la dépression saisonnière peuvent apparaître.
La dépression saisonnière n'est pas une dépression comme les autres. Souvent, la tristesse et les idées noires ne sont pas au premier plan des symptômes, mais ce sont plutôt les sensations de ralentissement et de pénibilité à faire les choses qui le sont. Ce mal-être lié au manque de lumière durant l'hiver affecterait 4 à 6% des Français.
Traiter l'origine de la dépression saisonnière
Dans toutes les grandes villes en automne, la lumière se fait rare. C'est le début du spleen hivernal. Pour venir à bout de ce trouble affectif saisonnier, le manque de luminosité nécessite d'être pallié. Il est d'abord recommandé d'emmagasiner le plus de lumière possible, de façon naturelle ou artificielle grâce à la luminothérapie.
La luminothérapie est indiquée après avis médical et doit être pratiquée le matin au moins 30 minutes avec une lampe de 10.000 lux maximum, placée à 30 centimètres du visage (ou une heure avec une lampe à 5.000 lux). Ce traitement est efficace dans plus de 75% des cas et une amélioration est souvent observée dès la première semaine de traitement.
Une thérapie cognitivo-comportementale peut aider le patient à travailler les pensées, émotions ou comportements qui entretiennent l'état dépressif. Eventuellement dans les cas les plus sévères, des antidépresseurs peuvent être prescrits, en sachant toutefois que plusieurs semaines ou parfois mois, sont nécessaires pour qu'ils soient efficaces.
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